L'entretien était prévu dans la lettre qui m'a été remise mercredi soir..
Je me retrouve donc face à ma directrice et à mon chef de service ( depuis septembre)
La personne qui m'accompagne, pour témoigner de l'entretien et me représenter, fait partie du CE de l'association qui gère ma boîte.
Les griefs qui me sont exposés, c'est la peur qu'ont eu la directrice et les jeunes qu'il y ait un coup porté, c'est le fait que j'ai vociféré dans les couloirs..
Je dis qu'ils n'avaient rien à craindre, ni moi d'ailleurs . Que j'ai le droit d'être en colère, que je n'ai frappé personne, ni insulté qui que ce soit, ni maltraité personne.. etc
J'ai précisé que j'avais agis seul car je ne faisais pas confiance dans mon institution: mon nouveau chef qui discrédite ma directrice ( et bien d'autres..) dans son dos, auprés des employés, mon chef qui est davantage occupé la plupart du temps scotché à son ordinateur..le personnel qui discrédite sans arrêt la direction...
Ils me reprochent donc d'avoir fait le zorro.. que je suis un professionnel qui a dérappé ( dans le domaine de l'humain à priori )
Ils me disent que nous sommes des humains ( pas moi ??)) qu'ils ont l'habitude de me voir flegmatique..et pas en colère..
(...)
1 commentaire:
Un peu, parce qu'ils ont l'habitude aussi de me voir flegmatique.
Il y a eu des pressions sur ma direction lorsque je suis allé à la gendarmerie..Il s'avère que la princesse catherine véhicule auprès de certains que je ne sert à rien dans l'établissement. Or, une bonne partie de mes collègues ont vu son manège: ce qu'elle veut dire, c'est que je ne lui sert à rien à elle.
Comme je l'avais dit dans un ancien post ( l'éducatrice princesse) cette nana flatte en permanence un collègue qui du coup travaille pour deux: lui et elle. La princesse n'a plus qu'à récupérer les compliments. Elle influence d'autres collègues..qui ont besoin de sa lumière ( donnant donnant) et le tour est joué..
La gendarme que j'ai vu, dans la foulée des évènements, a cependant dit à ma directrice qu'elle trouvait la mise à pied disproportionnée, d'autant qu'elle m'avait vu calme ...
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